Fil sur l’éducation canadienne – L’illusion des classes non mixtes
«Le problème [de réussite scolaire de certains garçons] n'en est pas un de genre», affirme un chercheur
L’illusion des classes non mixtes – Le Devoir
«Modèles d’enseignants masculins, programmes sport-étude, classes non mixtes et formation de clubs de lecture «réservés aux gars». Si les solutions pour hausser la réussite scolaire des garçons abondent, aucune n’a encore véritablement fait ses preuves. Et voilà qu’une nouvelle étude ontarienne sur les classes non mixtes vient dissiper les illusions qu’on avait sur cette mesure.
Ainsi, séparer les garçons et les filles à l’école ne garantirait en rien la performance des premiers. Pire, laisser les jeunes messieurs entre eux les rendrait plus agressifs, voire misogynes. «Certains garçons réussissent bien», nuance Christopher Greig, professeur adjoint à la Faculté d’éducation à l’Université de Windsor, qui a mené la recherche. «Mais c’est surtout les filles qui profitent de cette séparation», a-t-il ajouté. »
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Si vous faites quelque chose et que ça ne fonctionne pas, allez-vous continuer? Bien sûr que non sinon ce serait de l’acharnement hautement contre-productif, pour vous et par extension, pour ceux qui vous côtoient. Une personne n’est jamais aussi malheureuse que lorsqu’il n’y a pas de sens à ce qu’elle fait ou « doit faire ».
Les devoirs, imposés aux élèves aussi tôt qu’en première année, dans le réseau des écoles publiques et privées (à part quelques exceptions), au Québec, ont l’effet d’un cancer sur notre réseau scolaire, d’une part et sur la société, de l’autre.